« Un outil n’a de valeur que dans la main de celui qui sait l’utiliser.«
Les éléments à considérer avant de choisir
Prenez connaissance des points ci-dessous
Les trois niveaux de l’IA : faible, forte et générative
A faible (narrow AI) : spécialisée dans une tâche précise (reconnaissance d’image, prédiction).
IA forte (AGI) : concept encore hypothétique, capable de raisonnement général comme un humain.
IA générative : produit du contenu nouveau (texte, image, audio, code).
Les entreprises travaillent aujourd’hui sur la faible et la générative, la forte restant au stade de la recherche.
Les outils classiques de l’IA traditionnelle
Frameworks de ML : TensorFlow, PyTorch, Scikit-learn.
Outils de data science : Jupyter, RStudio.
Solutions MLOps : MLflow, Kubeflow.
Les outils émergents de l’IA générative
APIs IA : OpenAI, Anthropic, Hugging Face…
Plateformes et services spécialisées (ex) : Azure Ai Foundry (texte), MidJourney (images), Moises (audio), SORA ( video).
Environnements open source : LangChain, LlamaIndex, Stable Diffusion…
Ces outils facilitent l’accès à l’IA générative et permettent de construire des cas d’usage rapidement.
Les approches pour choisir le bon niveau et le bon outil
Pragmatisme : commencer par des cas simples et évolutifs.
Compatibilité : choisir des outils adaptés à l’infrastructure existante.
Conformité : vérifier les aspects éthiques et réglementaires.
Évolutivité : privilégier des solutions flexibles, capables de grandir avec l’organisation.
méthodologie
Étape 1 : Cartographier les besoins
Identifier les tâches automatisables ou assistables par IA.
Classer selon les niveaux (faible → générative).
Étape 2 : Sélectionner les outils
Pour les prédictions ou analyses : outils classiques (ML, data science).
Pour la création de contenu : outils génératifs (APIs, plateformes).
Vérifier la compatibilité technique et contractuelle (sécurité, RGPD).
Étape 3 : Expérimenter progressivement
Lancer un projet test avec un outil génératif simple.
Mesurer la valeur créée par rapport aux solutions traditionnelles.
Étape 4 : Structurer l’adoption
Créer un catalogue interne d’outils validés.
Former les équipes métiers à l’usage raisonné.
Mettre en place une politique interne de choix et validation des outils.
Un outil reste un moyen, pas une fin
Il n’existe pas d’outil magique, ni en IA, ni ailleurs.
Considérez une chose simple :
Un systeme d’IA prend une entrée ( BDD, texte, img..) Le traite ( modele) et génère une sortie ( Json, txt, .. ) .
Le tout réside dans la capacité du traitement ( modele) et la sortie produite ( votre résultat ).
Tout cela peut s’exécuter dans un outil sur étagère ou dans le cadree d’un traitement plus complexe ( série de modèles, agents, etc.. )
Vous trouverez dans les documents ci-contre la synthèse des différentes options qui s’offrent à vous 😉
Ce que vous allez trouver ici :
À retenir dans cette section
Plusieurs niveaux
L’IA existe à plusieurs niveaux : faible (prédictive), générative (créative), hybride (performante)
Outils classiques
Les outils et modèles classiques de ML (TensorFlow, PyTorch, MLflow) restent essentiels pour le prédictif.
Outils génératifs
Les outils génératifs (APIs, LangChain, MidJourney, etc.) ouvrent de nouvelles perspectives.